Mon « je » n’est plus moi
Peu importe combien j’ai pu être présent à vos côtés.
A faire preuve d’écoute, de gentillesse et d’attention.
De moi vous aviez la meilleur version.
Et c’est bien elle que vous avez ignoré, rejeté.
Je ne mérite pas votre amour, ni même votre simple affection.
Vous avez fini par me le faire comprendre, tous sans exception.
Je n’en suis pas digne, telle peut être la seule conclusion.
Continuer avec celui que je suis serait une aberration.
Je l’ai compris et essaie de faire taire toute ces attentes que j’ai pu avoir.
Je l’ai compris et enfermé celui que vous ne vouliez voir.
Il est caché et s’en est allé avec ses futiles espoirs.
Je suis là et vivrai une vie sous votre étouffoir.
Il n’y a plus rien à aimer. J’en suis fort aise et l’assume sans plus aucun émoi.
Vous ne me donnerez rien mais au moins est-ce normal. Mon « je » n’est plus moi.
Et gare à celles ou ceux qui voudraient atteindre mon âme, mon cœur.
Je l’ai caché, enfoui, protégé. De moi, de lui, de vous. Ne le sortez pas de sa torpeur.
Il vous est intimé l’ordre de le laisser là où il est.
Vouloir aller le chercher serait une provocation.
Il est à sa place désormais.
Pas d’approche du vrai sans répulsion.
A faire preuve d’écoute, de gentillesse et d’attention.
De moi vous aviez la meilleur version.
Et c’est bien elle que vous avez ignoré, rejeté.
Je ne mérite pas votre amour, ni même votre simple affection.
Vous avez fini par me le faire comprendre, tous sans exception.
Je n’en suis pas digne, telle peut être la seule conclusion.
Continuer avec celui que je suis serait une aberration.
Je l’ai compris et essaie de faire taire toute ces attentes que j’ai pu avoir.
Je l’ai compris et enfermé celui que vous ne vouliez voir.
Il est caché et s’en est allé avec ses futiles espoirs.
Je suis là et vivrai une vie sous votre étouffoir.
Il n’y a plus rien à aimer. J’en suis fort aise et l’assume sans plus aucun émoi.
Vous ne me donnerez rien mais au moins est-ce normal. Mon « je » n’est plus moi.
Et gare à celles ou ceux qui voudraient atteindre mon âme, mon cœur.
Je l’ai caché, enfoui, protégé. De moi, de lui, de vous. Ne le sortez pas de sa torpeur.
Il vous est intimé l’ordre de le laisser là où il est.
Vouloir aller le chercher serait une provocation.
Il est à sa place désormais.
Pas d’approche du vrai sans répulsion.
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